La maxime la plus souvent répétée sur ce site — assomption empirique, certes — est probablement: “les matchs amicaux n’ont d’importance qu’à ceux qui leur en donnent“.
Lorsqu’on les gagne, ces satanés matchs amicaux, on ressort l’adage, histoire de garder les pieds sur terre, histoire de ne pas choper le melon, éviter l’excès de confiance et tout le toutim.
Mais lorsqu’on les perd, ça devient délicat.