Jouer à Bosna ressemble au pensum ultime: pelouse étroite, gazon bosselé, adversaires stoïques, la passion comme seule alternative à un terrain qui ne permet pas le jeu, encore moins la moindre succession de passes. Boom-badaboum, montez je construis.
Pourtant, Champvent s’est sorti du piège bosnien en toute fin de match, sur un nouveau but d’Albino Bencivenga.